Vilain est son pseudo, vous l’aurez compris. Comme beaucoup d’ABDL, il fantasme à l’idée qu’une femme devienne sa nounou coquine et un brin dominatrice.

Dans son approche avec les femmes, il n’est pas agressif, ni méchant, il est juste très maladroit. Alors qu’il draguait sur Fessestivites une fille près de chez lui, son approche a donné l’impression à Nina qu’il était irrespectueux. Agacée, elle en parle à son amie venue passer le week-end chez elle.

• Il m’agace celui-la, grosso modo, il veut que je devienne sa maman, que je lui donne des fessées, gentilles évidement, et que le lui impose de porter une couche. En clair, que je devienne une boniche totalement à son service ou sa deuxième maman. Il ne m’a même pas demandée ce qui me plairait, mon plaisir il s’en tape le coquillard ! S’écrit Nina.

• Laisse-moi voir ce qu’il t’écrit ! Répond Lucie.

Après avoir lu les messages et le profil de Vilain, les yeux de Lucie se mettent à briller.

• Oh, je connais ce regard, tu penses à quoi ? Demande Nina.

• Il fait un temps de chien, nous ne pourrons pas aller nous balader comme prévu. Nos finances sont comme celles de la France, désespérées ! Nous ne pourrons même pas aller faire les boutiques. Tu pourrais le faire venir pour que l’on s’amuse un peu !

Lorsque Nina est avec Lucie, surnommée « la terrible » par leurs copines de l’époque, elle se sent des ailes. C’est bien connu, une femme qui domine cela peut être amusant, quand elles sont deux, cela peut rapidement devenir délirant et un enfer.

• Rappelle-toi le mec qu’on a fait se déculotter dans les vestiaires, tu te rappelles la misère qu’on lui a fait ? Demande Lucie.

• Oui, il essayait de mater les nanas et c’est lui qui est devenu l’attraction du jour. Le pauvre !

• Laisse-moi gérer ta conversation avec lui, je te promets que l’on ne va pas s’ennuyer ! Propose Lucie.

• Ok, cela nous rappellera notre jeunesse !

LE PAUVRE VILAIN....

Avec son doctorat de Malicieuse et sa Maîtrise de femme perverse, Lucie appâte totalement Vilain par messagerie.

En un rien de temps elle a percé à jour ses fantasmes avec pour but de s’amuser et le prendre dans ses filets. « Oui il viendra prendre sa petite fessée cul nu, oui il apportera ses tenues préférées qu’elle pourra lui imposer. Oui il viendra avec des couches, sa culotte en plastique et sa tétine. Promis il sera sage ».

Vilain est aux anges, enfin une fille qui le comprend et qui accepte de s’occuper de lui. L’ordinateur à peine éteint il se précipite dans sa chambre, ouvre son placard de coquin pour préparer un sac avec tout ce qui lui plait. Avant de se coucher, il se met en couche, prend sa tétine et, sous la couette, se masturbe comme un malade ce qui est antinomique pour un bébé. Au petit matin, il rêve éveillé sur cette rencontre qui pourrait bien changer sa vie.

Lorsqu’il se rend au rendez-vous, il rêve tellement qu’il oublie d’acheter un bouquet de fleurs et une bouteille de champagne. Ce n’est pas de l’avarice, c’est un réel oubli.

A 17 heures, il est à l’abri de bus indiqué rue de la Jonelière. Posé à côté de lui, un gros sac de voyage contient toutes ses petites affaires AB et DL. Une très jolie fille, avec une poitrine très généreuse s’approche de lui et l’interpelle par son pseudo. Devenue soudainement timide, Vilain, tout rouge, hésite un instant avant de répondre. Par contre, il ne la regarde pas dans les yeux, mais dans les seins qu’il rêve déjà de téter.

• Allez bébé, fais pas ton timide, prend ton sac et vient avec moi, on va s’occuper de tes petites fesses de pissou ! Indique Lucie se faisant passer pour Nina.

Arrivé devant une résidence, Lucie est presque obligée de le prendre par la main pour le faire entrer. Comme convenue, Nina s’est cachée dans sa chambre et commence à s’exciter comme une puce affamée devant un caniche bien dodu.

• Allez, pose ton sac sur la table que je vois ce que tu as apporté de beau ! Indique Lucie.

Elle entreprend aussitôt de l’ouvrir puis de sortir toutes ses petites affaires et des couches sous les yeux de Vilain très gêné. Elle les étale sur la table comme pour faire un inventaire en les commentant.

• Tu as oublié quelque chose d’important et cela mérite une fessée ! Crie Lucie en attrapant Vilain par l’oreille.

• Je ne sais pas Madame, je vois pas ce que j’ai oublié !

• Des fleurs et une bonne bouteille ! Cela s’appelle du savoir vivre, ton éducation est réellement à revoir.

• Oups, j’y ai pensé mais j’ai oublié ! Répond Vilain devenant blême.

• Oui, c’est ça, prend moi pour une bille !

Elle l’attrape aussitôt par l’oreille, tire une chaise sur laquelle elle s’assoit. Sans la moindre hésitation, Lucie entreprend de défaire la ceinture du pantalon de Vilain qui ne sait plus que faire ou que dire. Le bouton ouvert et la braguette baissée, il est déculotté manu militari. Debout, à moitié nu devant une femme en colère, il est comme statufié par la honte et la peur car les choses vont trop vite pour lui.

Prestement guidé sur les genoux de Lucie, il perd l’équilibre pour cause de pantalon aux chevilles. Il se retrouve allongé sur les genoux d’une femme pour être fessé, ça il n’en doute pas un instant. Lucie n’a pas été surnommée « la terrible » pour rien par leurs copines de l’époque, c’est ce qu’il ne tarde pas à découvrir dès la première claque qui s’abat sur ses fesses. En effet, cette grande sportive faisait aussi de la boxe à cette époque, autant dire que ses bras sont musclés et puissants.

• Moins fort, aie, ça fait mal ! Crie Vilain.

• Ben je crois que c’est l’objet d’une fessée non ? C’est bien toi qui m’a indiquée qu’il faudrait que je te donne la fessée. Alors tu vas l’avoir puisque tu en voulais une sauf que celle-là est méritée.

Sous l’avalanche de claques tombant sur son petit cul tout blanc, pour l’instant..., Vilain essaye de se soustraire et de mettre la main en protection.

• Nina, vient m’aider, le petit se rebelle !

En entendant ça, Vilain est traumatisé et se demande qui est cette nana en train de lui exploser le fondement. Nina qui, discrètement observait tout, se précipite pour venir attraper les mains du rebelle. Pantalon aux chevilles, mains bloquées et fermement maintenu sur les genoux de la tueuse de fesses, le rebelle ne peut que crier sa douleur. Ses rondeurs, devenues le siège de l’opération « matage du vilain garnement » deviennent rouges écarlates. Il a l’impression que les incendies de la Girondes sont remontés jusqu’à Nantes et sur son cul devenant un brasier. Ses suppliques de désespérés se transforment rapidement en reniflements pour cause de larmes.

• Allez au coin et mains sur la tête ! Lui indique Lucie en l’aidant à se relever. Et ne t’avise pas à me provoquer car cette première fessée n’est un amuse bouche à côté de celle qui t’attend si tu oses me résister. Ton éducation est à revoir de A à Z et je compte bien prendre ça en main.

Conduit au coin et obligé de mettre les mains sur la tête, Vilain ne peut que se soumettre à cette autorité ne laissant pas la place à la moindre discussion. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de masser ses fesses en feu dégageant encore une très forte chaleur et des démangeaisons. Il a même l’impression qu’une fourmilière en a pris possession. Un flash le tire de ses pensées, lorsqu’il se retourne, un autre flash lui confirme qu’elles font des photos de lui.

• Prend aussi une photo de ses affaires ! Indique Lucie à Nina en lui faisant voir un gode posé au milieu des couches.

• Ce gode doit se sentir bien seul, qu’en penses-tu ? Demande Nina.

• Tu as raison, il doit souffrir de solitude ! Donne-le lui pour qu’il se le mette en guise de bouchon de cul. Cela fera partie de son apprentissage de la propreté ! Répond Lucie pliée de rire.

Horriblement gêné, Vilain essaye de réfuter, un simple regard de « la terrible fesseuse » suffit à couper net ses réfutations. Il attrape donc le gode qu’il regrette grandement d’avoir emmené et le lubrifie un peu avec sa salive. Faire ça debout devant deux filles amusées n’est pas très glorifiant. Après plusieurs lubrifications « élégantes » de son anus comme doigté, le gode finit par trouver sa place.

• Maintenant tu vas serrer les fesses et remettre tes mains sur la tête !

• Mais il va tomber ! Répond aussitôt Vilain.

• Si il tombe, tu le lècheras et le remettra, donc tu serres les fesses ! Tu sais, comme quand tu as envie de faire popo mais que tu n’es pas encore arrivé aux toilettes !

L’humour pervers de Lucie lui fait peur.

• Oui, tu le remettras mais on te donnera de la moutarde en guise de lubrifiant, je te conseille de faire attention ! Ajoute Nina commençant réellement à entrer dans le jeu et en faisant des photos.

• Je vous en supplie, ne diffusez pas les photos, j’ai une famille et un travail à préserver ! Leur demande Vilain.

• Cela dépendra de toi, si de vilain garçon tu deviens un garçon sage et obéissant ! Lui répond Nina.

• Il faudrait le préparer pour sa nuit, qu’en penses-tu ? Demande Lucie.

• Bonne idée ! Répond Nina.

Pendant qu’elles farfouillent dans ses petites affaires, face au mur des lamentations, le chérubin se met à prier pour qu’elles ne soient pas trop garces avec lui et surtout, pour qu’elles ne diffusent pas les photos sur internet.

Tiré par l’oreille vers le canapé, Vilain marche à petits pas en tenant le gode toujours logé dans son fondement. La menace de lui faire ramasser avec la bouche le traumatise. Les filles lui retire son pantalon toujours à ses chevilles puis sa chemise avant de le pousser sur le canapé. En s’asseyant, il regrette amèrement d’avoir pris le gode surtout que Nina lui demande « si c’est bon de s’asseoir »... Elle faisait référence aux fesses rouges, lui c’est avec son anus qu’il a interprété cette remarque. ^^^

Invité à soulever ses fesses pour qu’elles puissent glisser la couche sous ses reins, il expose sa verge rabougrie, et pour cause, entre les mains des deux furies, il n’est vraiment pas fier. Lucie s’amuse à l’attraper du bout des doigts lorsqu’elle le talque en ajoutant « ça c’est vraiment un zizi de bébé ».

• Prend des photos avant que je referme sa couche ! Demande Lucie s’amusant toujours avec le zizi rabougri.

Les photos gênantes faites, la couche est fermée sans qu’on lui retire le gode.

• Allez pissou, on va aussi mettre ta culotte en plastique, cela protègera ton pantalon ! Indique Nina en lui demandant de soulever ses fesses.

• On ne peut pas retirer les gode ? Demande Vilain.

• Dans ta question il y a la réponse, on ne peut pas ! Répond Lucie qui a une idée perverse.

Le pissous langé et sous culotte plastique est ensuite vêtu d’un body trouvé dans ses affaires. Malicieuse, Lucie s’amuse à fermer les pressions du vêtement en appuyant là où c’est sensible. A la suite de quoi, elle parle à l’oreille de Nina pour lui faire part de son idée.

Soudainement, l’attitude de Lucie change. Elle passe de perverse à nounou câline en invitant Vilain à l’accompagner dans la chambre pour un petit moment de repos et son biberon de lait. Ravi d’avoir un peu de douceur, le chérubin la suit sans discuter. Lucie s’installe sur le lit en calant son dos avec un oreiller, Vilain s’allonge sur ses genoux, cette fois pour autre chose que la fessée. La tête posée contre la généreuse poitrine, il prend son biberon comme un vrai bébé. Il savoure l’instant bien plus que le biberon.

Pendant ce temps, Nina range les affaires de Vilain dans son sac, en ne laissant dehors que ses chaussures et son pantalon. La chose faite, elle cache le sac dans la penderie de l’entrée de son appartement.

LA SURPRISE DE TAILLE XXL

En arrivant dans la chambre, Nina fait encore des photos avant d’annoncer qu’il est l’heure d’aller promener. Invité à se lever et à s’habiller, le chérubin demande si il peut retirer le gode qu’il a dans les fesses. Cela lui est évidement refusé !

• Mais où est mon sac ? Demande soudain Vilain.

• Dans le vide ordure en bas de l’immeuble ! Lui répond Nina. On va aller le chercher et te raccompagner jusqu’à l’arrêt de bus.

• Pas dans cette tenue, on voit mon body et la couche ! Répond Vilain.

• Tu n’as pas le choix, tout est dans ton sac ! Répond Nina.

• Vous êtes de vraies salopes ! Aboie Vilain furieux.

Aussitôt calmé par une grande claque sur ses fesses rembourrées, avec la couche transmettant l’impact sur le gode, le chérubin pousse un cri « de désespoir anal ».

• Presse-toi car j’ai tout mis dans ton sac et les poubelles passent dans un quart d’heure ! Il y a aussi ton portefeuille, ton téléphone et tes clés dans le sac, nous ne sommes pas des voleuses. Mais n’ais par peur, on va t’accompagner.

Malgré ses suppliques, les filles le poussent dehors. La peur au ventre de croiser quelqu’un, Vilain est couleur frigo. (Blanc) Arrivée en bas de la résidence, Nina prétexte d’avoir oublié la clé du local à ordure pour remonter chercher le dit sac. Jamais au grand jamais un ascenseur n’a été aussi long pour le pauvre Vilain.

En la voyant arriver avec son sac, il respire et espère pouvoir enfin remettre sa chemise. Nina passe devant eux et sort de la résidence.

• Où va t’elle ? Demande Vilain.

• Poser le sac à l’arrêt de bus comme promis !

• Non, pas ça !!!!!! Supplie Vilain.

Lorsqu’il voit Nina revenir sans son sac il se décompose.

• Ton sac n’est pas à l’arrêt de bus, je ne suis pas méchante, il est caché derrière les arbres du petit bosquet, tu vas pouvoir aller t’habiller, en principe, sans être vu. Dépêche-toi il commence à pleuvoir.

• Ah j’oubliai ! Indique Lucie. La prochaine fois que tu vas chez une dame, n’oublie pas la bouteille et les fleurs. J’ai lu votre correspondance. Quand tu dragues une fille, ne lui parle pas que de tes envies, intéresse-toi aux siennes. Ce n’est qu’un conseil.

Fin

TSM

NOTE DE L’AUTEUR

• La phrase ci-dessus ne concerne pas Vilain que je ne connais pas. C’est juste un conseil généraliste.

Ce texte 100 % inventé a été écrit à la demande de Vilain qui existe réellement

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